Focus sur Marc-André Tousignant

Bilan de carrière

Je suis entré chez CIMA+ lors de la crise du verglas, en janvier 1998! J'arrive cette année à 25 ans de carrière, entièrement dédiée à CIMA+. C'est donc dire que je suis assez fidèle… On peut aussi dire que je fais partie des meubles! En effet, c’était mon premier emploi et je n’ai jamais senti le besoin d’aller voir ailleurs. Mon évolution s’est déroulée au sein du même groupe, en réalisant une diversité de projets et en étant impliqué dans des études de plus en plus complexes.

J’ai franchi également un autre cap significatif dans ma vie car j'ai eu 50 ans tout dernièrement. Ça représente la moitié de ma vie a été passée chez CIMA+. À l'heure des bilans je n'ai que du positif à retenir de mon association avec cette compagnie, qui m'a permis de grandir, de m'épanouir, de passer d’ingénieur junior à associé, et de réaliser des projets auxquels je n'aurais jamais rêvé.

Clés : Implication, dévouement, diversité

Les défis relevés

Rapidement, j’ai eu l’opportunité de contribuer à la branche internationale de CIMA+ au tournant des années 2000. Ces projets m’ont notamment amené à faire quelques séjours en sol africain pour y vivre dépaysement et aventures, tout en travaillant de longues heures… J’ai eu à analyser l’opportunité d’étudier la nécessité ou non de mettre en place un deuxième pont à Niamey, dont la capacité est réduite par un trafic d’ânes et de charrettes, à revoir les transports publics de Ouagadougou et à repenser le plan directeur des transports de Kinshasa.

Clés : Découverte, agilité, débrouillardise, assurance

Une aventure toute montréalaise s’est offerte à moi, comme on en voit rarement, celle de contribuer à la mise en place d’un mode lourd : le REM. J’ai dit oui à cette opportunité et ça a eu un impact positif sur ma vie au travail : bureau de projet dans de nouveaux locaux, nouvelle équipe à connaitre, multidisciplinaire à souhait. J’ai participé depuis le tout début de projet, en 2014, avant même que le projet ne soit repris par la Caisse des dépôts et placements du Québec, et mon implication tire bientôt à sa fin. C’est donc une dizaine d’années de mon parcours qui ont été fortement teintées par ce projet majeur, dont je suis très fier.

Clés : Fierté, effort, équipe

Sur la route

J’ai vu éclore le département de mobilité, passé de 4 avec mon arrivée, à environ 80 ressources actuellement. Des personnes de haute qualité, des collègues devenus amis, dont le noyau dur est resté fidèle à CIMA+ et au département de mobilité. Plusieurs sont eux aussi là depuis plus de 20 ans. Dans la nouvelle ère propice aux changements, notre stabilité est remarquable. Ce département, malgré l’évolution de son appellation au fil des modes, on l'a toujours appelé notre grande famille. J’en ai pour preuve la présence de tous mes patrons chez CIMA+ à mon récent diner d’anniversaire, d’André qui m’a passé en entrevue en décembre 1997 à Isabelle, la directrice actuelle du département.

Clés : Constance, croissance, attachement

Et la suite…

Que reste-t-il à accomplir? Beaucoup!

J’en suis à un stade où il faut accompagner la relève, développer les talents qu’on recrute, afin de redonner à la jeune génération les enseignements dont j’ai bénéficié. C’est une partie de ma tâche que je trouve stimulante, et c’est probablement l’héritage que m’ont laissé mes deux parents enseignants! Il faut savoir orienter les troupes, tout en leur laissant suffisamment de responsabilités pour avancer et se développer. Historiquement, le groupe Mobilité a toujours été une bonne école pour les jeunes, et nous comptons le demeurer.

Clés : Apprentissage, ouverture, écoute, action

Aller au contenu principal